J'ai immergé mon corps dans une eau
fumante. Le sel a pénétré mes fibres, mon corps alors pesait
lourd, se déplaçait lentement. J'ai eu tellement de temps pour
penser à ce vide qui nous entoure, a ses liens invisible qui nous
lient. L'écriture s'est jeté sur moi, elle a déployé ses ailes et
les lettres ont dansé, l'écriture me possède et alors je n'existe
plus. C'est elle qui m'existe.
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